Quand le couteau me rentre dans la chairLe
Quand le couteau me rentre dans la chair
Le souffle semble me revenir
A cet instant
L'instant ou tout le sang impur de mes veines s'échappe
Ou toute contrariété se fait oubliée
L'espace d'un instant...
... de cet instant.
Quand l'illusion d'un bien être se fait ressentir
Alors qu'en réalité je continue de souffrir
Souffrir mes maux, souffrir ma vie
Comme je l'ai fait souffrir, comme je les ferrais tous souffrir encore
Sang de pute, venin.
Ne contamine plus, évite encore les malheurs quoiqu'ils se pressent à ma porte
Venin, moi sang de putain.
Pression de leurs envies sexuelles
Sur mon être, ma chair écorchée
Qu'est-ce qui les attire en mon existence sallie?
Sentent-ils la mort et le désespoir présents?
Si facile a abusé, si facilement trompée
Ils viennent et repartent.
A leur guise, a ta guise
Venez puisque tout semble si naturel
J'ouvre les yeux et ne voit qu'eux
Ceux qui ont les burnes pleines, celles que j'excitent.
Je peux encore sentir l'odeur de leurs sexes
L'odeur de l'abus, de la trahison
Pourtant j'y reste, pourtant j'aimerais tout arrêté.
Toutes ces mains qui m'ont parcouru sans jamais ne rien ressentir d'autre que l'étreinte sexuelle dont ils sont oppressés
Toutes ces bites qui se sont dressés dans leurs pantalons amples, dans leurs pantalons serrés
Qu'ils ont collé contre moi désabusée
Contre moi pleurant le passé
Comme j'aurai aimé mourir d'amour
Comme j'aurai aimé qu'on meurt ensemble
Comme j'aurai aimé écrabouillé toutes ces burnes et écartelé tous ces vagins
Ceux qui m'ont abusé, ceux qui ont essayé, ceux qui y sont parvenus, ceux qui y parviendront.
Comme peu sont parvenus à m'aimé
Comme j'ai réussi à les détruire
Comme mon sexe me semble maudit
Comme ma bouche me semble sèche, depuis qu'il est parti
Depuis qu'il est monté
Comme mon existence me semble inutile
Quand je sais celui que j'aime heureux
Dois je me pliée à la réalité,
Celle qui me veut putain, celle qui me veut mélancolique
Celle qui veut que j'en tue encore
Puisque la mort ne me désire pas
Envoyée de Satan sûrement
Pour mieux lui envoyer des âmes fragiles,
Satan c'est pas le Mal
Satan c'est le feu de la vie
L'Enfer c'est ce Paradis qu'on dit si bon
Ce Paradis qu'il faut mérité.
Des gens heureux et bons sa n'existent pas
Qu'ils gardent leurs évangiles, leurs psaumes et leurs prières
Au près d'un dieu chimère
Les suicidés, les martyres sont ceux qui avaient raison
Je reste incomprise
Et Satan ne veut déjà me rencontré
Et Satan ne demande de les empoisonnés
Possédée par la mort qui pénétrera vos corps
Corps inertes que recouvrira la terre brune immondice
Corps souillés où j'aurai propagé la maladie
Où j'aurai éteint votre vie.
Comme vous avez pu détruire la mienne petit à petit
Comme vous avez pu faire couler le sang et les sanglots
Le long de mes joues, le long de mon être
Tout au long de ma misérable existence.
J'aurai voulu me détourné de ce chemin que Satan a fait mien
Sans le renié,
Mais j'aurais aimé goûté au bonheur,
Au vrai.
Celui où la drogue
C'est simplement la vie, c'est simplement le plaisir de vivre.
Mais déchue
Quand j'aime à nouveau on me fuit
Quand je sais la personne qui pourrait me sauver
Elle me trahit, elle s'enfuit
Lâche de m'avoir fait ressentir son sexe tant de fois effréné à passer sur mon corps
Lâche de m'avouer des paroles faussées quand ils ont leurs burnes vidées
Ou
Simplement amoureux d'une autre et désinteressé de mon venin
Simplement réaliste devant une âme perdue, pittoyable et stupide
Dont le sang reste incipide
Dont l'amour leur est bien égal
Dont mes mots leurs sont bien égals et bien faux
Dont j'aurai aimé pourtant prendre la main
Que j'aurai su aimé.
Et l'espoir s'en va, et l'espoir parfois revient.
Et la lune m'éblouit et le soleil me brûle.
Et l'on m'a condamné,
A erré,
A leurs faire plaisir,
Peut être a jamais.
Et pourtant j'ai tant de fois voulu l'amour
J'ai tant de fois cru en lui
Le bonheur ne peut se faire connaitre que par lui
Pourtant il me laisse bien seule et attristée
Pourtant je sais aimé
Quand on croit qu'on en vallait la peine
Alors qu'au départ on est déjà condamné.
[By BeautifulFeeling]
-Dis moi que ce n'est pas moi-