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Strange Thinks

27 mars 2006

Quand le couteau me rentre dans la chairLe

Quand le couteau me rentre dans la chair
Le souffle semble me revenir
A cet instant
L'instant ou tout le sang impur de mes veines s'échappe
Ou toute contrariété se fait oubliée
L'espace d'un instant...
... de cet instant.
Quand l'illusion d'un bien être se fait ressentir
Alors qu'en réalité je continue de souffrir
Souffrir mes maux, souffrir ma vie
Comme je l'ai fait souffrir, comme je les ferrais tous souffrir encore
Sang de pute, venin.
Ne contamine plus, évite encore les malheurs quoiqu'ils se pressent à ma porte
Venin, moi sang de putain.
Pression de leurs envies sexuelles
Sur mon être, ma chair écorchée
Qu'est-ce qui les attire en mon existence sallie?
Sentent-ils la mort et le désespoir présents?
Si facile a abusé, si facilement trompée
Ils viennent et repartent.
A leur guise, a ta guise
Venez puisque tout semble si naturel
J'ouvre les yeux et ne voit qu'eux
Ceux qui ont les burnes pleines, celles que j'excitent.
Je peux encore sentir l'odeur de leurs sexes
L'odeur de l'abus, de la trahison
Pourtant j'y reste, pourtant j'aimerais tout arrêté.
Toutes ces mains qui m'ont parcouru sans jamais ne rien ressentir d'autre que l'étreinte sexuelle dont ils sont oppressés
Toutes ces bites qui se sont dressés dans leurs pantalons amples, dans leurs pantalons serrés
Qu'ils ont collé contre moi désabusée
Contre moi pleurant le passé
Comme j'aurai aimé mourir d'amour
Comme j'aurai aimé qu'on meurt ensemble
Comme j'aurai aimé écrabouillé toutes ces burnes et écartelé tous ces vagins
Ceux qui m'ont abusé, ceux qui ont essayé, ceux qui y sont parvenus, ceux qui y parviendront.
Comme peu sont parvenus à m'aimé
Comme j'ai réussi à les détruire
Comme mon sexe me semble maudit
Comme ma bouche me semble sèche, depuis qu'il est parti
Depuis qu'il est monté
Comme mon existence me semble inutile
Quand je sais celui que j'aime heureux
Dois je me pliée à la réalité,
Celle qui me veut putain, celle qui me veut mélancolique
Celle qui veut que j'en tue encore
Puisque la mort ne me désire pas
Envoyée de Satan sûrement
Pour mieux lui envoyer des âmes fragiles,
Satan c'est pas le Mal
Satan c'est le feu de la vie
L'Enfer c'est ce Paradis qu'on dit si bon
Ce Paradis qu'il faut mérité.
Des gens heureux et bons sa n'existent pas
Qu'ils gardent leurs évangiles, leurs psaumes et leurs prières
Au près d'un dieu chimère
Les suicidés, les martyres sont ceux qui avaient raison
Je reste incomprise
Et Satan ne veut déjà me rencontré
Et Satan ne demande de les empoisonnés
Possédée par la mort qui pénétrera vos corps
Corps inertes que recouvrira la terre brune immondice
Corps souillés où j'aurai propagé la maladie
Où j'aurai éteint votre vie.
Comme vous avez pu détruire la mienne petit à petit
Comme vous avez pu faire couler le sang et les sanglots
Le long de mes joues, le long de mon être
Tout au long de ma misérable existence.
J'aurai voulu me détourné de ce chemin que Satan a fait mien
Sans le renié,
Mais j'aurais aimé goûté au bonheur,
Au vrai.
Celui où la drogue
C'est simplement la vie, c'est simplement le plaisir de vivre.
Mais déchue
Quand j'aime à nouveau on me fuit
Quand je sais la personne qui pourrait me sauver
Elle me trahit, elle s'enfuit
Lâche de m'avoir fait ressentir son sexe tant de fois effréné à passer sur mon corps
Lâche de m'avouer des paroles faussées quand ils ont leurs burnes vidées
Ou
Simplement amoureux d'une autre et désinteressé de mon venin
Simplement réaliste devant une âme perdue, pittoyable et stupide
Dont le sang reste incipide
Dont l'amour leur est bien égal
Dont mes mots leurs sont bien égals et bien faux
Dont j'aurai aimé pourtant prendre la main
Que j'aurai su aimé.
Et l'espoir s'en va, et l'espoir parfois revient.
Et la lune m'éblouit et le soleil me brûle.
Et l'on m'a condamné,
A erré,
A leurs faire plaisir,
Peut être a jamais.
Et pourtant j'ai tant de fois voulu l'amour
J'ai tant de fois cru en lui
Le bonheur ne peut se faire connaitre que par lui
Pourtant il me laisse bien seule et attristée
Pourtant je sais aimé
Quand on croit qu'on en vallait la peine
Alors qu'au départ on est déjà condamné.

[By BeautifulFeeling]

-Dis moi que ce n'est pas moi-275344031

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27 mars 2006

[.]

74291489_smallSuicide du coeur
Mon instant douleur.

Mon amour vous irrite
Qu'est ce que je mérite?

Ma vie n'était qu'un rêve
Je prie d'être irréelle.

Et mes veines ruissellent
Et mon coeur crève.

Crève encore!
Mais toujours plus fort.

Désinteressement de vie
Languissement d'amour.

Mais crève encore!
Mais toujours plus fort.

On ne veut que ton corps.
Immonde cadavre pleurant
Les êtres qu'elle a perdu
et qu'elle perd encore.
Attends!

Sage, la Vierge excite.
Mais continue de sucer ma haine!
Attends!
Il faut que je te prévienne...

Mais crèvez encore!
Mais toujours plus fort.

Crâne brisé au marteau
Enclume de vie,
Désabusée je suis
Abusée je continue
La route est longue
Ma vie est morte.
Je suis mordue.

Défunte. A ma putréfaction. Faite qu'elle soit douce.

La belle aventure qu'à été la tienne
Quand à coups de bite
Tu as détruit. Tu as maudit.
Sallie.
Oui.
Vagin en sang, yeux éteints
Tu détiens. La clef de ta réussite.
Vois.

Moi, détruite.

[By BeautifulFeeling]

-Si c'est ton jeu détruis moi..-

27 mars 2006

You knoW

-_-__-_-__-_-__-_-__-

Tout n'est que vide
Ma peau se détache
Je ne vois pas.

Tu m'opresses je t'opprime
Finis moi, ou aime moi
Je ne vois pas.

Et nos corps saignent encore.

Tout n'est que toi
Mon coeur me lâche
C'est toi que je vois.

Je t'aime toi tu me parles
Inhale moi, ou détruis moi
C'est toi que je vois.


-_-__-_-__-_-__-_-__-

[By BeautifulFeeling]

-Do you really want to make me cry?-

27 mars 2006

?

246967567_small

Sombre
Petite fille
Sombre dans l'abysse
Avec l'amour
Tout l'amour qui te reste
Tout l'amour qui t'opresse
Et crève mais oui crève
Dans le silence
En silence.
Pleure le encore
Oui mais pas si fort
Pense qu'il est heureux
Pense à lui
Oublie toi
Continu de te dire
Qu'il faut l'oublier
Même si tu es consciente
De ta Vérité
Oublie, oublie
Sombre jeune fille que tu es
Regarde le s'épanouir
Et ne dis mot...

Un homme qui te fait fléchir
Dont les paroles t'éclairent
Dont les mots t'embrassent
Dont le coeur est pris.

Fin de l'histoire. Adieu à toi belle vie.

[By BeautifulFeeling]

-...-

27 mars 2006

Au son des guitares...

253228415_smallAu son des guitares
Oublie le miroir
Qui reflète
Ton désespoir.

Toi goûte et enivre ce coeur vide
Charme et dévore
Cette vie.
Parcoure son corps,
Fait chanter l'entre de ses reins
Oui !
Fais la jouir
Et n'oublie rien.

Pour sept ans de contraintes
Brise son miroir qui l'esquinte
Brave le malheur
En absorbant toutes ses peurs
N'oublie rien
L'odeur suave de ta bouche entre ses seins.

Et pense à elle
Chaque jour
Dis lui qu'elle est plus belle
Fais la sourire, fais la rire
N'oublie rien
Surtout pas ses reins...

Tu lui diras que tu l'aimes
Ton coeur dans sa main
Tu lui feras l'amour
Sans fin.

Voiles blancs à son corps
Déshabille là
Sans attendre
Embrasse sa vie
Porte la jusqu'au lit
Et dépose là
Et regarde là
Termine toi dans ses bras
Une dernière étreinte
Avant le naufrage.

[By BeautifulFeeling]

-La musique adoucit les moeurs...-

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27 mars 2006

....

------>

J'oublie un peu le couteau
Mais on m'en enfonce d'autres dans le dos...
Je sèche comme je peux mes sanglots
Mais on me met toute la misère sur le dos...

J'ai mal à la tête
J'ai mal au coeur
J'ai encore mal aux reins...

Et vous en rajoutez encore
Encore et encore et encore...

J'ai les yeux qui pleurent
Les genoux à terre
Le ventre ouvert...

Et je m'enferme dans mon silence
Mes douleurs vous ne les entendez pas
Elles restent enfuient
Loin de vous
Loin de vos mépris...

Mais je vomis chaque nuit
En pensant à vous
Vous qui m'avait détruit
Je me tords et rend la vie
Deux doigts dans la bouche
Les reins pourris...

<------

[By BeautifulFeeling]

-Parce qu'on est toujours tout seule en réalité-

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26 mars 2006

An other archive...

Seule...
Accroupie...tu te demandes encore ce qu'est la vie...

Plus d'envies...
Pas de vrais amis...

Encore une fois on t'a menti
Encore une fois on te trahi
Où sont réellement les vrais amis?

Tu te sens mal
L'envie de crever t'envahi
Personne ne te comprends
Encore une fois tu vas ouvrir tes veines
Lentement...

Tu as eu mal?
Non, pas encore assez...
L'envie te prend de recommencez
Encore une fois...
Oui
Le voila replantez...

Sa t'as soulagé?
Non?
Encore une fois?
Plus radical?

Voila ta lame transperce ta peau...
Tu jubiles...
Merci au couteau...
Les bras ouverts, les veines transpercées
Tu sens ton coeur en train de basculez...
Dans un état second, tu recommences
Que cela est bon...

Encore?
Mais où t'arrêteras tu?
Quand tu auras eu assez mal?
Pourquoi continuez?

Cette question tu ne l'a pas entendu...
Tes membres tendus vers le ciel
Passage du scapel...

Gisant dans ton sang
Le corps froid
Personne n'est là...
Toi, tu es partie...

Le lendemain tes amis t'appelent...
Tien c'est maintenant qu'ils prennent de tes nouvelles?

Ils regrettent?
Oui?
Pourquoi?
Parce-que tu es partie?
Où parce-qu'ils se sententiront responsables jusqu'à la fin de leur vie?

Où SoNt LeS vRaIs AmIS ??????

                             278031008_small

[By BeautifulFeeling]

-Run away with my heart, run away with my hope-

26 mars 2006

Une archive...

195580088Une rencontre...
La nôtre...
Un bord de mer...une plage...pas d'importance...
La lune...
Toi et moi
Main dans la main
Assis au bord de l'eau
Perdue dans tes yeux
Protégé dans tes bras
Nous sommes tous deux heureux
Nous n'attendions que cela...

Je me tournai vers toi
Toujours perdue dans tes yeux
Je n'attendais que ça...
J'ai posé ma main sur ton cou
Tu as posé la tienne dans le mien
Nos regards se sont troublés...
Je n'appartenais à présent plus qu'à toi
Puis tes lèvres j'ai gouté
Un doux baiser
Innocent, pleins de tendresse et pureté...

Impossible à présent de nouc contrôler
Je me rapprochai
Touchais à nouveau tes lèvres
Et bientôt deux langues entrelacées
Mes mains caressaient ton corps...de haut en bas...
Mes lèvres ne pouvaient se détacher des tiennes...de leur parfum j'étais enivrée
J'étais tienne...
La fougue nous tenait...

Tu m'as allongé
Dans tes yeux tu me demandais
Si, ce soir, je me donné à toi
Et mon corps je te l'ai donné...
Mes mains sur le tien toujours te parcouraient...
Je me retrouvais à présent nue
Devant celui que je voulais...
Devant celui que j'aimais...
A cet instant je te donnais mon corps
T'offrais ma virginité...


Mes mains toujours posées
Tu me pénétrais
Mouvements de va et viens, plaisir qu'on ne peut que subir...
Euphorie d'un moment, extase d'une seconde...
Nos corps ne faisaient à présent plus qu'un
Une seule et même personne...

Une rencontre...un désir...une envie...
L'extase...le plaisir que je ressentais...
Je te l'ai dit...la voix essouflée...
A ton oreille je te l'ai murmuré...
Deux êtres...deux corps en transe
Cette chaleur...cette excitation...
Chaleur corporelle...chaleur intérieure...naturelle
Celle de mon coeur...
Celle de nos corps...

Après ces moments de magie...
Je m'endormais contre toi
Nos corps toujours enlacés...l'un à l'autre...

Mais demain matin...tu m'auras oublier...
Mais demain matin...
Je serai encore plus seule...
Coups d'un soir...on oublie....
Lendemain...
....FINI....

[By BeautifulFeeling]

-on n'efface pas le passé...-

26 mars 2006

One Story...

271338047_smallAinsi,
Tu as pénétré,
L'entre d'une mort annoncée.

Prenant plaisir aux addictides
Au vouloir de l'oubli
De nos vies,
Je t'ai rencontré le nez en-coké
Nos veines respectives piquées,
Dans le flou du loft encombré
Je me suis assise sur tes genoux
Et t'ai tendu mon bras
Et c'est toi que tu as piqué,
Mon bras tu l'as juste baisé
Et le sang coulant de mon nez
Tu l'as effacé
A moitié dénudé
Mon corset tu l'as ouvert
Ma jupe tu me l'as resseré
Et sans mots
Je te regardai
Ta tête s'est écroulée sur ma poitrine
Et tu as pleuré
Et tu m'as pleuré
Tes yeux comme les cieux d'Hades
Assombris
Comme la plus lugubre des nuits
J'ai mis tes mains sur mes hanches
Mon doigt sur ta bouche
Et gravement
La situation a mûri
L'endroit semblait disparaitre
Une seringue pour deux
On se piqués
A tour de rôle
Les yeux dans ton sang
Mon sang dans tes yeux
Personne ne peut comprendre
Que lors de cet instant nous nous trouvions heureux
Dites moi que je suis toxicomane
Je vous répondrai que vous êtes ignorant
De ce que je ressens
Et que mon sang une fois drogué
Atténué me fait chavirée
Comme le Bateau Ivre du regretté Rimbaud
Dont j'aime tant les pensées
Et que son sang une fois drogué
Excité le fait sourire
Sourire étrange et
Tendrement vous l'embrassez
Et brusquement vous vous reculez
Comme consciente du rêve
Sans ne l'être jamais
Et il attrape vos lèvres
Et la seringue
Doucement s'en va
A pas de loups
Elle disparaît de nos envies
Et d'autres naîssent
Et ton ivresse me séduit
Mais l'heure tourne
Les lumières et les portes du loft sont refermées
Imprévu
ou
Destin
Je ne peux rentrée chez moi
Et goûte ton habitat
Des murs noirs et blancs
La drogue nous rappelle
Deux heures dans la salle à bain
A récupérer de nos addictides avalés
Ensemble dans la douleur de l'après effets
Le nez en sang
Les bras gonflés
On riait, comme des enfants
Des pieds à la tête tâchés
On riait de l'acquisition de notre mal
Qui nous poursuit encore aujourd'hui
Reprise en mains
Reprise de conscience
Et toujours ivre de continuer
Musique annoncée
Corps qui se cherchaient
A la lueur de tes bougies qui sentaient le miel
J'ai roulé ma langue suave
Aux coins et recoins de ton être
Tes mains ont suivi les lignes de mon être
Et ton souffle si chaud
Sur ma peau si froide
A provoqué le choc
Une décharge électrique
Un foudroiement
Et nous ne nous sommes plus quittés
Un être nous étions
Le temps je l'avait senti se stoppé
A l'instant

Tu nous a délivré
De l'envie qui nous dévoré
Oh oui atroce et divine attente
Sur ce canapé quand tes mains sur mes hanches
Tu agitais
Quand ma langue dans la tienne
Faisait couler des larmes d'extase
Le long de mes joues
Que tu regardais
Que tu séchais
Un morceau de ta chemise
Passant
Pour les effacées
Que le temps me paraissait lent et bon
Lors de l'acte que je maudissais
Et dont je ne connaissais que l'ennui
Et tout s'est envolé Valentin
Je ne savais plus où j'étais
Et te voyais qui me possédé
Comme les images me défilent
Comme la morsure de ta lèvre
M'a été douce
M'a été ciel
La douce musique s'estompait
Alors que ton regard s'intensifiait
Tu as vu revivre des braises dans mes yeux
Vibrations d'une extase mutuelle
Le feu de nos draps blancs
Faisait rage
Je sentais la circulation de ton sang
Jusqu'à la pointe de mes cheveux
La poitrine se soulevait
Et tant de fois
Ta bouche s'y promenait
La fin se faisait ressentir
Exténués.
Et ton membre m'a quitté
Et nos coeurs reprenaient réalité
Mais nos regards et nos bras restés liés
Un silence de mort
Et des yeux qui pleuraient
L'incompréhension de l'instant nous tenait
Choc émotionnel des plus intenses
J'ai cru que j'allais y resté
Quand tu m'as fait l'Amour
Celui qu'on espère un jour connaître
Le vrai.

Ta perle noire...

[By BeautifulFeeling]

-nothing-

26 mars 2006

M0rPhin3

zLe puis-je encore?
Laisse moi m'occuper de toi
Je saurais abuser ton corps
Comme la dernière fois...

Vois dans mon mal
Mon espoir

Le puis-je à nouveau?
Glisse ta main sous ma jupe
Je saurais te lacérer le dos
Fais ta caresse tendre
Oui
Mais fais moi mal qu'en découle le bien...

Vois dans mon mal
Mon bien

Oui mon amour je te rendrai dingue
Les draps en mourront
On y laissera du sang
Mais qu'importe ce mal
Qu'importe la douleur
Rends moi belle
Et saignons !


Et au petit jour consummés par l'étreinte
J'aurai encore le corps en complaintes
Mais qu'importe !
Et sous le clapotis du sang
Et sur ma peau porcelaine
Tu suceras ma haine
Je sucerais la tienne

Vois dans notre sang
Un futur

[By BeautifulFeeling]

-Blind you-

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